Législatives 2024 – Tribune inter-associative Après la forte poussée du vote pour l’extrême-droite aux élections européennes et le risque de la voir accéder au pouvoir en France après les élections…
Depuis 2020, le Groupe Mammalogique Breton a mis en place une veille sur les zones de présence permanente du Muscardin. Ces zones, des carrés 5×5 km, sont définies comme « à prospecter » si aucune observation de l’espèce n’a été signalée depuis 4 ans.
Afin de suivre l’évolution des populations de Crocidure bicolore, une musaraigne en importante régression appelée aussi Crocidure bicolore, le Groupe Mammalogique Breton met en place un protocole de contrôle des zones de présence.
Comme tous les ans, les préfectures proposent des périodes complémentaires pour le déterrage du blaireau. Le GMB conteste ces demandes et juge que ces périodes complémentaires de vénerie sous terre du Blaireau sont totalement injustifiées et illégales.
Depuis sa création, le GMB met en place un réseau de sites protégés pour les Mammifères. Aujourd’hui, l’association gère des « réserves » aux statuts de protection divers et apporte ses conseils à des partenaires engagés dans la même démarche.
Comme tous les ans, les préfectures proposent des périodes complémentaires pour le déterrage du blaireau. Le GMB conteste ces demandes et juge que ces périodes complémentaires de vénerie sous terre du Blaireau sont totalement injustifiées et illégales.
Le GMB s’associe à une initiative proposée par France Nature Environnent – Bretagne liée à la conservation du Bocage.
Depuis 2020, le Groupe Mammalogique Breton a mis en place une veille sur les zones de présence permanente du Muscardin. Ces zones, des carrés 5×5 km, sont définies comme « à prospecter » si aucune observation de l’espèce n’a été signalée depuis 4 ans.
Dans le cadre du projet « Gros nichoirs à chauves-souris », quatre gîtes ont été mis en place au siège de Communauté de Commune de Crozon lors de travaux d’isolation par l’extérieur.
Actuellement, des gros nichoirs ont été mis en place dans 25 sites en Bretagne Historique. Pour
l’essentiel, ils ont été réalisés bénévolement par des naturalistes bricoleurs, mais aussi avec le
soutien de collectivités.