L’Atlas des Mammifères sauvages de Bretagne paru à l’automne 2015 continue à rencontrer un succès inespéré servi par de belles critiques et le Prix du « Beau livre produit en Bretagne » 2016. La première et la deuxième édition étant épuisées (5900 exemplaires au total), le livre vient d’être à nouveau réimprimé à 1000 exemplaires par la maison d’édition Locus Solus.
A la veille de l’élection présidentielle, 80 associations et ONG, dont France Nature Environnement, lance « un appel des solidarités » afin d’alerter les consciences sur le déficit de solidarité en France. C’est sans réserve que le Groupe Mammalogique Breton lève la patte et répond « Présent! »
Les nombreux petits rongeurs et autres insectivores regroupés sous le terme de micromammifères sont souvent méconnus du public, et certaines espèces sont encore mal connues des scientifiques. Ils sont parfois pourtant menacés. C’est pourquoi le GMB lance un programme d’études de 4 ans.
Le parc animalier Planète Sauvage vient d’apporter son soutien financier (1 000€) au projet de restauration d’un bâtiment dans le sud Finistère qui accueille une importante colonie de Grand rhinolophe.
Le Conseil Départemental du Finistère et le Forum des Marais de l’Atlantique, invitent les citoyens à soutenir à signer une pétition pour la protection des zones humides.
Afin d’augmenter la capacité d’accueil de la biodiversité dans les réserves du Groupe Mammalogique Breton, nous lançons un appel à toutes les personnes motivées pour fabriquer des nichoirs.
Le Groupe Mammalogique Breton engage un programme de quatre ans d’étude des micromammifères sur la Bretagne historique. Dans ce cadre, nous lançons deux appels.
L’énergie éolienne, remarquable alternative aux énergies fossiles, offre un important progrès environnemental. Néanmoins, les parcs éoliens peuvent avoir des impacts négatifs sur les chauves-souris. Le plus notable est la mortalité par collision ou barotraumatisme. D’autres effets peuvent se cumuler comme la destruction d’habitats, la perte de terrains de chasse ou l’effet barrière. Toutefois, la prise en compte des chauves-souris en amont des projets peut largement limiter ces risques.
Nous profitons de la découverte d’une chauve-souris coincée dans un poêle à Saint-sur-Couesnon (35), pour relayer un appel national à témoignages sur cette problématique.
Nous rassemblons les fonds nécessaires à la restauration du bâtiment afin d’assurer la conservation des chauves-souris. C’est dans ce cadre que nous recherchons le soutien financier d’entreprises locales aux valeurs proches des nôtres.